C’est dans les cuisines que tout commence

Quand WW (Weight Watchers) nous appelle, la demande est simple : comment améliorer l’expérience de leurs membres au quotidien pour qu’ils mangent mieux, plus facilement, avec plus de plaisir.

Mais comment répondre à cette question sans tomber dans les idées reçues ? Sans projeter ses propres convictions ? Comment répondre à grande échelle à une question si personnelle : qu’est-ce que bien manger ?

On ne pouvait pas le faire depuis un bureau. Alors nous avons pris la route.

À la rencontre des vraies vies, des vraies cuisines

Pendant plusieurs semaines, nous avons rencontré des personnes à New York, Toronto, Londres, Paris et Düsseldorf.

Des hommes, des femmes, jeunes ou retraités, sportifs ou fatigués, passionnés de cuisine ou épuisés par le quotidien.

🔍 25 cuisines explorées, en immersion pendant la préparation du repas

🗣 Plus de 40 heures de discussions, parfois légères, parfois profondes

📝 Des centaines de pages de notes, de photos, de cartes de parcours…

Nous avons écouté ce qui freine, ce qui motive, ce qui soulage. Nous avons vu les boîtes en plastique usées, les recettes scotchées aux murs, les enfants qui courent pendant qu’on épluche des carottes, les balances jamais utilisées, les placards pleins de bonnes intentions.

Mieux manger ne se décide pas, ça s’organise

À l’issue de cette enquête, nous avons identifié :

• 8 profils types, du « no-hassle cooker » au passionné généreux en passant par la maman débordée ou la cliente fidèle en quête de reconnaissance
• 49 besoins spécifiques : gagner du temps, impliquer son conjoint, éviter de culpabiliser, apprendre sans être infantilisé…
• 6 besoins clés, transversaux, qui permettent à chacun de progresser vers une alimentation plus saine sans se sentir puni, ni seul, ni dépassé.

Parmi eux, trois ressortent très clairement :

• Faire de la cuisine un moment partagé, pas un poids
• Être valorisé pour ses efforts, même si imparfaits
• Créer des habitudes durables, sans dogme ni fatigue mentale